Partant du postulat que la pauvreté ne se limite pas à un manque de ressources, mais désigne également une relation de subordination des personnes pauvres à l’État, l’auteur étudie le rôle des programmes de transferts monétaires (tels que le programme mexicain Oportunidades) dans l’évolution des politiques sociales et de la citoyenneté en Amérique latine. Il évalue l’impact de tels programmes sur la perception que les personnes défavorisées ont de leurs droits et de la qualité de leur participation civique.