Le plan Brésil sans misère appelait l’État à intervenir dans plusieurs secteurs pour s’attaquer de manière globale au phénomène pluridimensionnel de la pauvreté. Cette stratégie reposait sur la participation de 22 ministères, d’organismes et d’entités dépendant plus ou moins directement de l’État, ainsi que des secteurs privé et tertiaire. Ce texte décrit la structure de gouvernance du plan.